Je vais vous raconter une histoire :  . C’était il y a bien longtemps, peut-être au siècle passé…

Je participais à un stage sur la guérison essénienne, un WE de Pâques.

La chamane nous a raconté que, le matin du dimanche pascal, avant que l’aube ne pointe ses doigts diaphanes à l’horizon, les sources laissaient couler une eau miraculeuse qu’il était bon de recueillir et de goûter. Cette formation était éprouvante et j’étais le seul à envisager de quitter  le bivouac dans la nuit pour me rendre en  un hypothétique lieu indiqué par un des participants. Toujours est-il que j’ai reconsidéré le scénario. Je me suis réveillé à 2h30, suis parti à la maison récupérer une quinzaine de bouteilles et ai gagné la résurgence de la Drèche, une petite église de l’albigeois, non sans avoir récupéré deux acolytes.

La qualité vibratoire du moment était incroyable. Une petite chatte blanche est venue nous rejoindre et nous a caressés. Des mémoires de chevalerie … Un improbable chant du coq dans la nuit.  Apparemment sensibles, ces volatiles, quelle que soit l’heure de l’apex ! Auraient-ils de la potion magique ?  

Et nous avons pris de l’eau.

Le soleil du dimanche a réchauffé les bouteilles qui s’énergétisaient. À 18 heures, l’ensemble des stagiaires a décidé de boire un peu de cette eau. Un peu beaucoup.

Et pendant 3 heures, ce fut un fou rire généralisé, inexplicable….

Depuis, chaque année, par monts et par vaux, en collaboration avec les Druides, j’ai renouvelé l’expérience, en recherchant l’heure propice, accueillant les Présences éventuelles. 

D’un horaire précis et quasi commun à toutes les sources il y a 15 ans, les pics peuvent maintenant être décalés selon les lieux, multiples, séparés d’une 50 aine de minutes. Les propriétés  de cette eau varient chaque année, à chaque prélèvement. Les niveaux énergétiques également : de plus en plus incroyables. Auparavant, je pouvais facilement multiplier cette eau, par coupage et en avoir tout au long de l’année. Maintenant….

Hier, nous avons entrepris de préparer la Source : pas d’information précise. Deux pics : 1h50 et 3h10 au pendule. Cela sera ramené à 2h10 et 3h10. Nettoyage, bougies jaunes…  . Pas d’information, pas de Présence.

Nous avons expliqué le principe  à nos invités pour la cérémonie.

A 1h30, branle-bas de combat. . Notre petit groupe est descendu vers la Source qui nous attendait, silencieuse. Un léger clapotis.

Religieusement, nous avons allumé les bougies, écouté…. Rien ; un vent imperceptible. Pas d’étoile.

A 2h, le niveau vibratoire (de 6 000 UB) est doucement monté à plus de 3 millions à 2h10. Puis redescente rapide, avec changement de sonorité du filet d’eau.

Vers 2h30, ou plutôt 3h30 selon les smart phones, qui avaient obéi au changement d’heure, une petite bruine est arrivée. Les ondins nous ont suggéré de querir quelques parapluies.

L’eau, qui était redescendue comme nous au niveau vibratoire antérieur, a recommencé son ascension. Fait étrange, d’une couleur Bc magnétique clignotant, le pendule s’est positionné sur une position qu’il a prise pour la première fois : ni Magn.  ni Elec. , ni même une alternance entre les deux. C’était une 3^ème qualité que je devrai approfondir.

Un des participants, assez interloqué par ce qu’il vivait,  a avancé un pied et …  Plouf.

Respectant 4 ou 5 paliers d’une minute, l’eau est montée jusque 3h (non 4 NDLR) à … 14 milliard d’UB.  

Nous avons fait nos ablutions. Certains mettent en garde sur ces niveaux vibratoires.   Moi j’en ai bu : cela ne m’a rien fait…  

Et brusquement, à 3h, la pluie s’est mise fortement à tomber. Instantanément le niveau vibratoire a chuté. Nous avons pris nos bouteilles. Les luminions avaient été noyés.

Nous sommes remontés nous sécher. 

Que de mystères pour les zumins de 2016 ! 

Une petite pensée pour les œufs que les enfants auraient à découvrir tout à l’heure :  .

Il nous restait à attendre le lever du jour pour ressentir notre récolte non pas d’eu mais d’os !