Les pyramides de Maurice résumé des recherches internet

Résumé des recherches internet : Pour les photos vous pourrez aller voir les sites source.

Sources :

www.gigalresearch.com

https://www.lexpress.mu/article/274606/sept-pyramides-plaine-magnien-mythe-ou-realite

www.blog.airmauritus.com/fr/seven-pyramids-maritus

http://tahitigeobio.canalblog.com/archives/2015/10/17/32791432.html

http://messagesdelanature.ek.la/les-pyramides-de-l-ile-maurice-p266286

 

 

L’île Maurice d’origine volcanique, fait partie des iles Mascareignes dans l’océan indien à environ 900km à l’est de Madagascar, juste au nord du tropique du capricorne.

 

Ces 7 petites pyramides à terrasses sont situées du côté sud de l’ile sur le plaine Magnien entre l’océan indien, le Mt des Créoles et le Mt du Lion à 20°26’.8.15’’S et 57°39’5.60’’E, et à eviron 5 km à vol d’oiseau du littoral

Elles sont identiques à celles trouvées sur l’ile de Ténérife Pyramide de GUIMAR aux iles Canaries à plus de 9600km à vol d’oiseau (Ténérife est la plus grande île de l'archipel espagnol des Canaries, située au large de la côte ouest de l'Afrique. Elle est dominée par le Teide, un volcan endormi constituant le plus haut sommet d'Espagne)

Des structures similaires existent aussi en Sicile qui est aussi d’origine Volcanique et il semblerait qu’il y en avait aussi dans les Marae royaux polynésiens…

 

Leur fondation est rectangulaire, leur hauteur au max de 12m, elles ont entre 6 et 11marches en terrasses, elles seraient toutes élévées sur un sol de rochers aplanis en plateforme

Loin d’être des pierres disposées là en pile, elles ont été construites par des mains de maitres avec un savoir-faire d’une précision ahurissante avec un parement de grosses pierres taillées en biseau vers l’intérieure pour mieux s’insérer, entre 20 et 30cm de côté et de pierres plus petites de comblement.

Fabriquées avec des pierres volcaniques sans mortier Comme celle de Ténérife elles possèdent des arrêtes d’angles, taillées et placées avec précision.

 

Elles semblent faire partie d’un complexe ; on notera aussi leur alignement parfait comme pour celles des iles Canaries et d’ailleurs.

Elles sont visibles depuis les vues des satellites avec une très grande précision

Doit-on s’étonner d’une telle similarité ?

 

Elles ont aussi des caractéristiques particulières. :

-  la plus haute avec ces 13 terrasses est rectangulaire,

- la plus large est en carrée de 26x26m et 11 terrasses,

- une autre a un escalier qui mène à la plateforme supérieure,

- puis une avec une extraordinaire pente arrondie en colimaçon dont la courbure à l’intérieure a dû demander un travail considérable, et comme elle est construite sur un terrain en pente, la base d’un pan de sa structure à été surélevée pour permettre à la pyramide d’être sur une surface plane.

 

Mais il y a aussi une structure arrondie à degrés sur laquelle a été construite une cabane de gardien et qui pourrai bien faire partie aussi de l’ensemble

Et et et …….

le 11/06/2018

Et et et .....

Et encore un vaste réseau routier ancien, pavé et surélevé par endroit, des plateformes promontoires avec des rampes impressionnantes devant l’océan.

Un imposant réseau hydraulique en terrasses, le tout de même facture que les pyramides, ont été identifié entre celle-ci et l’océan ainsi que des cavernes aménagées à l’identique sur un axe nord-sud et des rochers retravaillés surplombant l’eau, comme faisant partie d’un tout monumental…

 

Sur une zone d’à peu près 10km2 de Mare d’Albert jusqu’à la côte : la plage du Bouchon en passant par Union Vale et les Mares entre la Plaine Magnien et Pont naturel, on trouve des km de murs de même facture que les pyramides.

 

De plus à proximité et sur la zone habités à plus de 2 km autour, dans la zone de la Plaine Magnien, cimetière de la plaine et Mahebourg , on trouve des enceintes massives construite avec exactement les mêmes procédés et les même matériaux que les pyramides. Ces murs très larges de 70 à 90cm et de 1.50 à 2m en hauteur ont une base bien plus large que leur partie supérieure, d’environ 45%.

Par moments ces murs ont une largeur dépassant les 5m et comportent sur leur dessus, déposées, des roches impressionnantes de plus de 2m3. Surtout pour la muraille de plus de 600m longeant la route et qui traverse en coupant le village de Mare d’Albert. L’inclinaison de ces murs rappelle celle des degrés constituant les terrasses des pyramides

Ils ont exactement les même arrêtes en « v » des angles des pyramides et possèdent parfois des arrondis savant, certains traverses les villages et d’autres serpentent dans la campagne en contrarient l’emplacement des cultures. Il ne s’agirait donc pas de simples murs délimitant des parcelles.

On remarque aussi des chemins pavés reliant entre elles les pyramides avec des caractéristiques que l’on ne retrouve pas par exemple dans les chemins de cannes à sucre de Flic en Flac.

Ce sont des allées parfaitement planes et régulières, sans ornières, d’une résistance incroyable alors que les camions chargés y passent et que les trombes d’eau des cyclones s’y déversent.

Ces allées font entre 2m10à 5m de large sans aucune trace d’affaissement et sont parfois surélevés avec des arrondis et de même technique et matériaux que les pyramides, il est incroyable qu’elles ne subissent pratiquement aucun dommage et démontre une technique de construction remarquable.

Et là on découvre au pied même des pyramides une allée vaste de 5m10 de large de pavé régulier qui va tout droit jusqu’ à la mer, jusqu’à Camp Carol, agrémentée comme les autres de chaque côté de 2 rangée de petites pierres de bordure alignées avec une grande régularité

Plus au sud on arrive à la partie visible d’un vaste réseau hydraulique dont la source souterraine d’origine émerge du côté d’Union Vale. Le débit de cette source est impressionnant car le courant est puissant. Le début d’un canal principal est constitué d’un premier basin d’environ 2m de profondeur dont le fond est constitué des roches complétement aplanies.

Le courant devient très fort 5m après le collecteur du premier bassin d’où émerge des bulles de gaz alors qu’il n’y a ni vase ni poissons, ni crustacés. On trouve alors à Caro un immense ouvrage d’art localisé sur le Mares que l’on utilise aujourd’hui très intelligemment pour la culture du cresson a environ 2km du littoral.

Il y a un bassin principal d’une longueur de 100m sur 26m de large et de plus de 6m de profondeur qui possède des murs massifs et même une muraille haute en pente douce d’exactement la même facture que les pyramides ! Un ensemble de murs imposant similaire et creusé profondément à même la colline, un travail de Titan qui n’était certainement pas dédié à la culture du cresson à l’origine. Il y a à quelques km de là une autre ferme à cresson construite de notre temps, si vous la visitez cela n’a rien à voir car les bassins sont constitués de maigres alignements de pierres juste posées en plaine à plat et il n’y a pas tout ce génie hydraulique en étages que l’on voit ici avec toute la gestion d’un courant très puissant et ces murs monumentaux. Le site de Caro est impressionnant et l’on y observe donc un vaste réseau de canaux se déversant en terrasses et, des canaux peu profonds dont le canal principal se déverse non loin de la plage du Bouchon laquelle comporte 7 bras de pierres volcaniques plongeant dans sa rade et délimitant des criques. Tout le site de Camp Carol voisin est truffé de murs larges et construits là aussi d’exactement la même façon que les pyramides.

 

Mais ce n’est pas tout ! un peu plus au sud de la plage du Bouchon sur une falaise sombre d’une trentaine de mètres de haut surplombant la mer, une des falaise la plus haute de la zone étudiée donnant sur l’Océan, on trouve la construction d’un immense mur d’environ 4m de hauteur et d’une largeur de 2m au départ de sa pente.

A 70 m du site au nord-est de la rampe « serpent » on trouve le site de « Pont Naturel » constitué d ‘une double arche sur un pilier central de grande dimension, constituée de pierres volcaniques face à l’océan et y baignant, . L’Océan agité propulse contre la falaise des vagues jaillissantes en jet à plus de 30m au-dessus du niveau de la mer et le ressac s’enfonçant dans la falaise comprime l’air contenu dans les cavités. Cet air ressort en deux points précis à travers deux fissures dans la voûte et sur la plateforme ce qui donne un son puissant. Au moins un des deux trous semblent avoir été façonné car il est parfaitement rectangulaire.

 On peut observer sur le contour du grand « trou » dans le sol donnant la visibilité sur cet arche, comme deux étages d’aplanissement et une large plateforme. Il semble aussi qu’il puisse y avoir eu des marches. Pour le trou il aurait pu être un trou naturel plus petit, élargi par l’homme et modifié en plus régulier, le travail humain y semble bien visible.

Cette énorme muraille est non seulement construite avec les mêmes techniques parfaites que les pyramides mais elle est construite comme un tremplin immense sur le dessus de la falaise, dominant l’océan et se terminant par un promontoire large et plat.

Un peu plus loin au sud à environ 1 km 500, au lieudit « Le Souffleur » nous avons un rocher-plateforme à environ 20m de hauteur dans l’océan relié à la terre ferme par une passerelle où se trouve un petit trou d’où ressort sous la pression de l’océan là aussi, un geyser d’eau encore plus puissant en fines particules, qui peut remonter jusqu’à 40m de haut dans un bruit foudroyant lorsque la mer est agitée, exactement comme un souffle en colère fort impressionnant et peu engageant. Ce qui est extraordinaire c’est que ce gros rocher-plateforme vu du ciel à exactement la même forme que la muraille-serpent et se termine donc comme la tête d’un serpent sinueux. Plus au sud on a deux autres fois la même chose.

Ensuite il a été repéré l’existence de 3 cavernes extraordinaires : Une dont l’entrée est située Plaine Magnien qui est à demie inondée. Une autre un peu plus au nord de celle-ci  totalement inondée. Et une autre encore à 4km au sud de la première se nommant : « La caverne des hirondelles ». Ces trois cavernes ont une entrée monumentale en arc de cercle régulier et sont quasi identiques. Mais surtout : à l’intérieur elles sont immenses ! Plus de 20m de large !

Une quatrième caverne existerait du côté du terrain de sport de Plaine Magnien mais aurait été bouchée pour des raisons de sécurité. Une cinquième existerait aussi du Côté de Caro Cresson mais elle n’a pas encore été identifiée.

 

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le 27.07.2018

Avis divers:

 

A 70 m du site au nord-est de la rampe « serpent » on trouve le site de « Pont Naturel » constitué d ‘une double arche sur un pilier central de grande dimension, constituée de pierres volcaniques face à l’océan et y baignant, face sans doute à l’origine, au soleil levant. L’Océan agité propulse contre la falaise des vagues jaillissantes en jet à plus de 30m au-dessus du niveau de la mer et le ressac s’enfonçant dans la falaise comprime l’air contenu dans les cavités. Cet air ressort en deux points précis à travers deux fissures dans la voûte et sur la plateforme ce qui donne un son puissant. Au moins un des deux trous semblent avoir été façonné car il est parfaitement rectangulaire…on aurait voulu créer un lieu de culte impressionnant ou utiliser une disposition naturelle des lieux déjà effrayante, on n’aurait pas mieux fait ! Il serait fort intéressant que des géologues se penchent sur le « naturel » de ce lieu et de voir là où la main de l’homme est intervenue car on peut observer sur le contour du grand « trou » dans le sol donnant la visibilité sur cet arche, comme deux étages d’aplanissement et une large plateforme. Des géologues de mes relations n’ont pas hésité à dire en scrutant de nombreuses photos que le pont lui-même semble avoir été aménagé par l’homme pour être plus plat, régulier, plus léger et plus large. Cela devait permettre une plus grande stabilité à travers le temps grâce à une légèreté acquise. Il semble aussi qu’il puisse y avoir eu des marches. Pour le trou il aurait pu être un trou naturel plus petit, élargi par l’homme et modifié en plus régulier, le travail humain y semble bien visible.

 

Depuis la visite du chercheur Dr.SamSemir Osmanagich et de propos tenus par l’égyptologue Antoine Gigal en 2009 ces structures ont fait l’objet de divers débats.

 

Antoine Gigal :Chercheuse et auteure française en égyptologie, Antoine Gigal travaille  depuis 20 ans en Egypte, connaissant en détail jusqu'aux sites archéologiques les plus reculés et inconnus. Elle a publié des centaines d'articles en français, anglais, italien, néerlandais et a fait beaucoup de conférences dans le monde entier ainsi que des émissions de radio internationales. Son but est de révéler la vision globale fascinante qui vient soudainement en lumière lorsque l'on est capable de comprendre l'Egypte comme un tout. Elle aime travailler principalement avec des géologues et des ingénieurs. L'Egypte antique de son point de vue, détient les secret des secrets, car elle a été la dépositaire des mystères concernant l'humanité depuis longtemps et il y a beaucoup de choses à élucider. Avec l'aide de sources universitaires, très nécessaires afin de trouver les textes originaux et traductions, elle les retravaille et avec les rapports de fouilles, les  thèses et ouvrages en plusieurs langues ainsi qu'avec la confrontation avec la réalité du terrain, elle essaie de découvrir le véritable héritage laissé par les anciens Egyptiens pour le bénéfice de l'humanité. Non seulement elle revient des dizaines de fois sur un même site afin d'y comparer la géologie, l'hydrologie, les cartes anciennes et les vues satellite d'aujourd'hui, mais elle travaille aussi avec un élément indispensable que de nombreux savants ignorent trop souvent: la fameuse tradition orale qui perdure encore sur le continent africain.

 

Semir M. Osmanagić, né le 1er juin 1960 dans la région de Zenica, dans ce qui était la république socialiste de est le fondateur et président de la Bosnian Pyramid of the Sun Foundation. Fouilleur Bosnie-Herzégovine (aujourd'hui la Bosnie-Herzégovine), amateur, il a un doctorat en sciences sociales de l'université de Sarajevo portant sur la civilisation Maya2., chercheur et auteur, détenant un PhD en Histoire des Civilisations, membre de l’académie des sciences naturelles de Russie et de la Société archéologique d’Alexandrie, Egypte,. Il réside actuellement à Sarajevo (Bosnie-Herzégovine).Durant quinze ans, il a étudié les pyramides pré-colombiennes du Salvador, du Mexique et du Pérou. Il s'est déjà fait remarquer par la communauté scientifique internationale en invoquant les origines extraterrestres des pyramides mayas et soutient certaines des théories sur les propriétés des crânes de cristal.

En 2005, le directeur du Musée de Visoko, Senad Hodovic, l'appelle pour étudier les pyramides bosniennes3. Il crée parallèlement une association pour récolter des fonds pour ses recherches.

Pour Anthony Harding, le président de l'Association européenne des archéologues, ses théories concernant les prétendues pyramides de Bosnie-Herzégovine portent atteinte au patrimoine archéologique de ce pays4.

Osmanagić est auteur d'un cycle de plusieurs tomes nommé Histoire Alternative. Ses diverses théories sont rejetées par les géologues et les archéologues professionnels.

 

Selon Gigal aucune caractéristique perceptible ne semblerait différencier les s de Maurice de celle de Tenerife, insinuant ainsi un véritable lien et non une simple coïncidence. Cela soulignerai la probabilité qu'une civilisation a voyagé à diverses îles au large de la côte de l'Afrique et a construit toutes ces structures. Même si les propos du Dr OSmanagich ne font pa s l’unanimite aupres des Mauriciens il e demeure pas moin que ces syrciuture onune ressemblace étonnnate acvec celle de guimar

Sem Samir Osmanagich, est venu visiter Maurice, en 2009, afin d’y faire un état des lieux.

L'île Maurice fait partie des îles Mascareignes et se trouve dans l'océan Indien, à environ 900 km à l'est de Madagascar. L'île fait 61 km de long et 47 km de large, et se trouve juste au nord du tropique du Capricorne. A l'origine c'est volcanique. L'histoire montre que l'île était connue des marins arabes et austronésiens dès le Xe siècle; Les marins portugais ont été visités pour la première fois en 1507. L'île Maurice a été cartographiée par l'Italien Alberto Cantino en 1502. Ce plan identifie les trois îles des Mascareignes (La Réunion, Maurice et Rodrigues) et les appelle par leurs noms arabes de Dina Margabin, Dina Harobi et Dina Morare.

Il est supposé qu'avant les Arabes, Maurice était connue des gens vivant sur la côte africaine ainsi que des célèbres peuples de la mer, une confédération de raiders maritimes qui incluaient les proto-phéniciens. Le récit grec de Periplus raconte l'histoire de Hanno (Hannan), le navigateur carthaginois qui vécut au 5ème siècle avant JC, et qui traversa les piliers d'Hercule (le détroit de Gibraltar) en commandant des navires qui allaient explorer la côte atlantique de l’Afrique. 
Hérodote décrit une expédition phénicienne quittant la mer Rouge et traversant la "mer du sud", et, suivant les ordres du pharaon égyptien Necho II (610-595 avant J.-C.), retournant à la mer Méditerranée à travers les piliers d'Hercule, ce qui signifie qu’ils ont dû faire le tour de l'Afrique.

 

 

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